La salle de classe

Je pense que chacun de vous à déjà vu une salle de cours ??
Imaginez la un peu plus grande, des fenêtres donnant sur le parc, et des cours interressants

"Bienvenue jeunes gens. Les cours commençerons lorsque trois étudiants ou plus se seront inscrit ici même en remplissant ce formulaire"

Sous ce post-it fixé à la porte des cours. Un bac simple posé contre la porte était rempli de formulaires qui requisitionnait des informations personnelles sur les étudiants. Il était présenté de la sorte :

Citation :

Nom:
Prénom:
Surnom:
Motivation:

Une formule de politesse présente au dos de la feuille indiquait qu'il fallait retourner ce questionnaire au bureau du kage en mains propres .

Kasuke enfin arrivé a l'académie , entre et marche jusqu'à qu'il se trouve devant une porte 2fois plus grande que lui !!
* hoo... cela doit être la porte de la classe . *
Kasuke intriguer par le bac collé a la porte regarde les feuille posé dessus.
* hum... un formulaire ? *
Il pris un stylo de son sac et commença a remplir le formulaire .
" voila j'espère que cela sera bon . "
Puis ayant terminer de remplir le formulaire , il se dirigeais en direction du bureau du kage.

kanki qui alla vers la classe vit une autre personne allant dans la direction opposée
*c'est bizzarre ca enfin bon en tout cas je ne suis pas seul héhéhé*
kanki était devant la porte et vit un formulaire
"bon ba au boulot les enfants a moi de jouer"
kanki prit un stylo et repondit au questionnaire
*ca doit etre pour ca que j'ai vu cette autre personne héhéhé ca veut dire que je suis en retard*
"fini... enfin bon ba voila maintenant chez le kage"
kanki se dirigea vers le bureau du kage

Ryudan arriva dans la salle de classe et observa tout autour ainsi que les personnes présentes

Elle regarda les formulaires : *bon hop un ptit formulaire*

Elle rempli donc le formulaire

le formulaire remplie elle se hâta de partir pour le bureau du kage et juste avant de sortir retourna vers bakuryu intriguée, et lui jeta un regard perçant et continua son chemin jusqu'au bureau

Bakuryu arriva a la salle de classe, un peu exténuer après la longue journée passé a l'extérieur de sa forêt.
Il s'installa donc au bureau et profita du calme et du silence pour se poser un moment. Aujourd'hui il n'avait pas eu beaucoup de temps à lui, il fallait qu'il médite légérement.
Il s'assit donc a un coin de la salle, dans l'ombre et la fraîcheur, et pensa au Reptiles. Les formes longilines des serpents, les aspect primitif des lézard, tant de magnificences. Mais pendant cette instant de repos, il repensa au regard perçant qu'une récente éleve lui avait jetée. Un reguard si magnifique.
"Calme toi, repense a la lente danse des serpents, leurs demarche élegante."
Mais ce reguard ne voulait pas quitter son esprit.
Il décida donc d'appeller les éléves afin de commencer le cours.
Il invoqua pour cela divers Reptiles et les envoya a la recherche des étudiants.


[HRP] Ici sont attendu les élèves encore présents, il faudrait au moins trois étudiants.[/HRP]

Après que Himeno ait été récemment acceptée à l'academie, elle entra dans la salle de classe et s'assit sur une chaise près d'une table en attendant l'arrivée des autres élèves.
*Quelle drôle de salle !*

Après son entraînement personnel, Kyosuke eut l'idée d'aller à l'académie.
En entrant dans la salle de classe, son regard resta figé sur une jeune fille qui se trouvait là.
Elle avait l'impression de l'avoir déja rencontrée, et cela l'intriguait excessivement.
Elle réussit tout de même à reprendre ses esprits. Dès lors, elle remarqua à l'ombre Bakuryu, sûrement dans ses pensées et essaya de ne pas le déranger.
* Il a vraiment l'air bizarre ...*
Puis, elle prit un siège près de la jeune fille au cheveux roses à reflets violets
" Salut, tu dois être nouvelle, je ne t'ai jamais vue par ici.
Moi c'est Kyosuke et toi ? "

Himeno eut le présentiment qu'elle avait déja vu cette jeune fille quelque part.
"Bonjour, je m'appelle Himeno...Tu ne trouve pas cette salle bizarre ?"

Kyosuke semblait beaucoup plus à l'aise
" Enchantée, appelle moi Kyo. Surtout ne fais pas attention à Bakuryu. Même moi je me pose des questions sur lui. A propos de toi, tu ne serais pas une princesse ? "
*Si c'est une princesse, j'aurai tout vu à Konoha !*

Himeno hésita
"Non je ne suis pas une princesse"
*Je ne vais pas lui dire que je suis une princesse ou sinon elle va me cataloguer!*

Ryudan entra et observait les gens autour d'elle avec une légère méfiance :

"Bonjour"

Himeno regarda la jeune fille qui venait d'entrer dans la salle de classe et la salua en souriant:
"Bonjour je m'appelle Himeno. Je pensait que Kyosuke et moi serions les seules élèves mais je me suis trompée."

Bakuryu sortait de sa mi-torpeur. Du coin de la salle il observait le reste de la pièce. Sur les vingt sièges prévus pour autant d’étudiants, seul trois étaient occupé par les élèves présentes, Dont celle qui ne voulait pas sortir de son esprit. Près de cette personne répondant au nom de Ryudan se reposait un petit dragon. Animal fantastique au corps fin et au longues ailes, Bakuryu n’en avait encore jamais vu, et ne les avait admirer qu’en dessin, sur des vieux manuscrit traitant également de Reptiles disparut.
Il se releva lentement, avec aisance, et déposa délicatement le serpent qu’il manipulait. Il se dirigea vers son bureau et tira la chaise près de la fenêtre du bout de la classe. En effet à ce niveau un grand arbre faisait de l’ombrage, ainsi Bakuryu pus profiter de la fraîcheur.
Il reposa son regard sur l’auditoire et commença à parler doucement.

"Bonjour, je me nomme Bakuryu et je suis actuellement promus au rang de Sanin."

Il marqua une légère pause et écouta un instant le doux chant des oiseaux.

"Aujourd’hui je vais seulement vous entraîner à être plus efficaces. Nous verrons différentes techniques et apprentissage un peu plus tard. Tout d’abord je veux que vous vous rappeliez pourquoi vous voulez devenir ninja. Pourquoi avez-vous choisi cette vocation et non une autre. Sachez qu’on ne choisi pas d’être ninja par défaut, c’est un véritable art. Sachez également que le pouvoir de cette unité militaire dépend énormément de sa volonté. Et aujourd’hui je vais tenter de vous apprendre à l’utiliser."

Il se leva et fit machinalement un geste d’invocation. Bakuryu s’assit les jambes croisées sur le sol, avec sur ses genoux le lézard tout juste arrivé.

"Sachez que dans un combat il faut que vous aillez la volonté de tuer. Ne vous en faîtes pas pour l’adversaire, lui aussi auras envie de vous tuer, vous ne le blesserai pas aussi facilement. Je veux que vous plongez dans vos souvenir, que vous essayer de vous remémorer tous les moment dur, tout les moment qui vous on poussés a suivre la voie de ninja. A chaque début de combat ou d’entraînement, dite vous devrez refaire cet exercice. Plongez en vous, ressentez la haine, laissez vous emportez par vos sentiments. Mais attention, ne le faite qu’en début de combat, car si vous êtes dans cet état de transe en plein milieu d’une bataille, vos gestes seront généralement trop prévisible."

Bakuryu se reposa un court instant et apprécia le silence. Les élèves écoutaient attentivement et n’osaient pas bouger.

"Je vous demande donc maintenant de vous mettre dans cet état, de faire ressortir vos émotions. Vous devrez sentir votre peu trembler, vos sens s’amplifier, et surtout une grosse envie de se défouler, voir une envie de meurtre. Vos instincts de vengeance ressortiront. Pour les plus sensible et ce qui ne choisissent cette voie par défaut, cette épreuve se termine en pleur et en désespoir. Il faut bien le dire, le métier de ninja n’est pas donné à tout le monde. Evidemment pour le début cela ne se voie pas trop, mais a niveau élevé, la différence est flagrante. Je vous entraîne donc aujourd’hui à avoir l’étoffe d’un vrai ninja. Maintenant à vous de jouer !"

Kyosuke avait attentivement écouté Bakuryu et avait assimilé ce qu’il demandait.
L’exercice semblait mener vers un apprentissage profond de soi-même et permettrait ainsi de faire jaillir un désir ardent d’exercer le métier de ninja.
Kyosuke se leva alors de sa chaise, la remis en place et alla s’asseoir sur le sol dans un coin de la salle. Elle préférait être dans une position plus confortable durant sa catharsis.
Kyosuke prit son souffle, et ferma les yeux. Son voyage allait commencer là.

Jaguara… des orchidées blanches… un parfum printanier doux et tendre… la nature… la famille… le bonheur… l’amour…
Tout lui revenait comme si elle y était, elle pouvait voir :
- Toute sa famille : son père, un homme sage que tout le monde respecte ; sa mère, d’une beauté fulgurante mais assez réservée ; et sa sœur, sa jumelle.
- Son village : une grand village assez moderne et en pleine floraison. Les cerisiers donnent à ce lieu une ambiance tout à fait accueillante.
- Ses amis : Presque tous des amis d’enfance.
Tout ces souvenirs agréables la rendait dans une euphorie totale. On pouvait même la voir sourire les yeux fermés.

Darcia… la soif de pouvoir… le pouvoir suprême… le monstre… le loup… l’être proche… la trahison…le malheur… la mort…
A partir de ce moment là, on pouvait très distinctement remarquer que Kyosuke passait d’un état à un autre : Son visage se crispait, sa mâchoire se serrait, son pouls augmentait et elle agrippait sa veste avec une poigne de fer .
Cet homme, ce visage, ce regard, elle ne pouvait pas oublier cela.
C’était une matinée banale : Kyosuke, en pleine insiration, écrivait un sonnet et regardait de la térasse sa sœur, en bas, en train d’arroser les fleurs comme à son habitude. Cet homme arriva près de sa sœur. Elle le connaissait très bien
« Bonjour Darcia. »
Il ne disait rien, il ne la regarda pas même pour la saluer. C’était un homme assez agréable, respectueux et bon. Elle ne le reconnaissait pas.
Il se dirigeait d’un pas hâté vers sa sœur, toujours sans un mot.
Kyosuke ne se posa pas de questions mais ressentait au fond de son cœur une crainte, comme si quelque chose de grave allait se passer.
Un quart de seconde après ce mal être, elle s’effondra et ressentait au niveau de son cœur, une douleur. Elle se traîna et chercha sa sœur.

Du sang…DU SANG… la peur…SA SŒUR.
Elle était là. Il était là.
Elle était morte. Il était vivant.
Les fleurs étaient rouges. Elle était rouge. Il était noir.
Elle était pâle et pure. Il était égayé et impure.
Les sœurs étaient immobiles. Il s’en allait heureux mais s’arrêta un moment comme désolé face à cet acte
« J’ai enfin accompli ma tâche. »
Il prit Jaguara
« …Excuse moi, mais il le fallait. Je devais être plus fort. Et pour l’être, il fallait que je te tue.
Toi, la personne qui me rendait fragile. »
Il la reposa soigneusement et regarda en direction de Kyosuke
« Les sœurs jumelles partagent la douleur. Tu dois aussi être morte.
C’est encore mieux que je ne le pensais «
Il s’en alla à ces quelques mots.
Kyosuke resta là.
A son réveil, la ville était saccagée. Il ne restait plus personne à par elle…
C’est à ce moment que Kyosuke ouvrit les yeux. Son voyage était terminé.

Toutes ses veines étaient enflées.
Elle ouvrit les yeux, se leva et se dirigea vers la porte de la salle.
Elle sortit de la pièce, alla dans le couloir et s’arrêta face à un mur.
« Je te le promets, tu vas me le payer ! »
A ces mots, la rage avait envahi tout son corps, c’est alors qu’elle enfonça son poing maintes et maintes fois dans le mur. Le mur ne semblait pas être du ciment. On avait l’impression que c’était un matériau beaucoup plus souple.
Essoufflée et défoulée, elle alla vers la salle de classe et se rassit sur sa chaise.

« Peu importe combien tu hais ou combien tu souffres, tu ne peux rendre vie au défunt.
Toutefois, la vengeance est un plat qui se mange froid. »

Ainsi, Kyosuke reprit son souffle et se balançait sur sa chaise comme si de rien n’était.

Kanki rentra dans la classe tres lentement et tres discretement
"euh bonjour je suis kanki et un reptile ma dis de venir ici"
Tout le monde regarda kanki se qui le géna quelque peu.
"Euh bon je crois que je derange excusez moi , excusez moi encore"
Kanki fit demi tour et mis la main sur la poigné de la porte.

Ryudan avait écouté avec intérêt et sérieux les explications de Bakuryu, puis commença tout d'abord à se détendre et essayer de se mettre en méditation pour ensuite accéder à un état de transe,

Ryudan inspira en creusant le plus possible son torse et expira tout ça en profondeur et trois fois, fit le vide dans sa tête oublia tout

Ryudan senti un moment son âme quitter son corps, elle essaya de se rappeller de sa vie avant, de ce qui a fait en sorte qu'elle ai perdu la mémoire, la raison pour laquelle elle s'est isolée et enfui d'où elle vivait auparavant ainsi que retrouver ses pouvoirs

Mais en vain rien ne vient, rien elle n'arrivait pas à se rappeler le vide total, un début d'agacement et de rage envahi son corps,

Ryudan commença a serrer les poings, à se mettre en rage, quelque chose en elle était prêt à exploser, elle se mit à respirer vite et fort, son pouls s'acceléra, son regard s'assombrit

Ryudan tourna la tête vers Bakuryu et fixa un regard noir sur lui comme une sorte de reproche d'avoir proposé cet exercice, une larme de rage coula sur son visage, elle se leva furieusement, en cognant un poing sur la table,

"Cet exercice m'enerve, c'est impossible je n'y arriverais jamais"

à ce moment là elle senti une grande energie puissante mais incontrôlable sortir de son corps , puis tout d'un coup un carreau de la fenêtre éclata, Bakuryu était à côté justement mais heureusement il eut le reflexe de s'en écarter et ne fut pas touché par le verre qui volait en éclat,

Ryudan se rappela vaguement d'une maison et qu'il lui était déjà arrivé quelque chose de similaire à la scène de la fenêtre éclatée mais rien de plus,

Ryudan regarda à nouveau Bakuryu et dit timidement

"J'ai fini cet exercice"

Ryudan se rassie plus sereine mais epuisé, un léger filet de sang coula de son nez, elle était tout de même contente d'avoir réussi à commencer à avoir un souvenir qui était revenu

tout était calme

Un nouvel élève entra, et s'avanca timidement.
Pendant qu'il approchait Bakuryu vit le regard noir que lui lancait Ryudan, un regard à donner plus que des frissons!
L'élève approcha un peu plus et se stoppa, la plupart des regard étaient dirigé sur lui et une profonde gène l'envahissait. Pendant qu'il reulait un carreau de vitre éclatait juste à coté de Bakuryu, les éclats de verres fusèrent mais le Sanin réussi à les éviter.
Pris un peu au dépourvu le nouvelle élève du nom de Kanki se dirigea vers la porte et posa la main sur la poignée.
Bakuryu le regarda un instant et pris la parole:
"Reste, tu es entré dans ce cours, maintenant a toi d'y participer. Je répète un peu les consigne, si tu ne comprend pas demande a tes collègues. Alors tu dois faire remonter tes émotion, ce qui t'as poussé a devenir ninja. Tu dois élever ta haine, montrer ta rage. Et ensuite évidemment te calmer."
A ce moment Ryudan dit timidement qu'elle avait fini l'excercice, le calme après la tempète. Kyosuke revenait dans la salle d'un air serain.
Himeno quand à elle n'avait pas encore bougée.
"Celle qui ont fini je vous pris de rester dans la salle, afin de reprendre quelque peu vos esprit."
Bakuryu observa encore la fille au dragon, de si fortes émotions se dégageait de cette personne !

Himeno avait attentivement écouté les explications de Bakuryu mais ses souvenirs avait du mal à apparaître. Très frustrée, elle observa tous ses camarades passer cet exercice et se sentir mieux ensuite.
« Pourquoi je n’y arrive pas, c’est pas si compliqué que ça ! Concentre toi Himeno ! »
Himeno commença par se calmer mais sa position n’allait pas alors elle alla s’asseoir près d’une fenêtre. La brise délicate la fit se rappeler d’une vague image celui de son royaume. L’ image était fracassée, presque en désordre.
Himeno se souvint alors qu’elle avait décidé d’oublier les souvenirs du temps où elle vivait dans son royaume. Elle oublia aussi bien les bons comme les mauvais souvenirs qu'elle les avait caché au plus profond de sa mémoire pour ne plus souffrir.
« Je suppose qu'il est temps que je fasse face à mes souvenirs et par la même occasion à mes peurs. »
Himeno ferma les yeux et écouta tous les bruits autour d’elle, ils lui rappelait son royaume, les forêts où elle allait se promener. C’était d’ agréables souvenirs. Mais le son d’une clochette la fit se rappeler du jour où ses parents ainsi que son royaume ont été attaqué. Le feu, l’odeur, les corps des morts étendus sur le sol, le château complètement détruit puis le mal absolu l’empereur Mitsukake qui riait comme pour lui rappeler qu’elle n’était rien et que jamais elle n’arriverait à le battre.
*Il se moque de moi, il n’arrêtera donc jamais de me hanter !*
Himeno sentait son cœur s’emballer dans sa poitrine et elle sentit une douleur horrible, c’était comme si son cœur allait s’arrêter.
*Tu ne va pas me laisser tomber toi aussi !*
Il lui était désormais impossible de retenir ses larmes. C’était des larmes de désespoir. A ce moment, un visage apparu devant elle comme une illumination, c’était le visage le plus rayonnant et le plus beau. C’était le visage qu’elle aurait aimé ne pas oublier mais qui à été oublié comme les autres, le visage de celui qu’elle aime Okuto. Tout d’un coup, toutes ses peurs, son désespoir, sa solitude se dissipèrent. La simple vue du visage de son bien aimé à réussi à lui redonner courage et espoir dans la vie.
* Je ne dois pas abandonner, je lui est promi que je viendrais le sauver, je ne briserais pas ma promesse. Je ne dois plus douter, je dois être plus forte.*
Himeno se souvint alors des merveilleux moments qu’elle avait passé avec sa famille, ses amis, les sujets de son royaume ainsi que les souvenirs qu’elle avait avec Okuto. Son cœur se remplit alors de joie et les larmes tombèrent le long de ses joues. Ce n’était pas des larmes de désespoir mais des larmes de joie.
« Je sais ce que je dois faire, je ne dois plus fuir mes souvenirs non plutôt, je ne dois plus me fuir car mes souvenirs font de moi ce que je suis et je ne dois n’y en avoir peur et n’y en avoir honte.
Je me souviendrais des bons comme des mauvais souvenirs pour pouvoir mûrir et m’épanouir. Je ne dois plus me fuir, je vais donc redevenir la Himeno d’avant que je fuyait. Celle qui apportait de la joie autour d’elle, celle qui n’avait pas peur de faire des erreurs et qui en grandissait, celle qui n’avait pas peur d’aller vers les autres, celle qui faisait confiance aux autres. Mais je n’oublierais pas mes côtés sombre et mes faiblesses. Je dois arrêter de me battre le cœur et l’esprit emplis de haine. Je dois me battre avec mon cœur pour que plus personne n’ait à vivre ce que j’ai vécu. J’en fait le serment aujourd’hui. »
Après ce « combat » avec elle-même, Himeno se sentit le cœur léger. Son esprit n’était plus rongé par la vengeance absolue. Elle se sentait en totalle harmonie.
Elle alla donc à sa place où elle vit Kyosuke qui se balançait sur sa chaise comme si de rien n’était. Elle lui sourit puis s’assit à côté d’elle.

Kanki était impressioner par tout les élèves et se dessida malgré sa timidité
"Dites sensei , puis-je essayer???"

Bakuryu avait obervé Himeno, elle été passer des pleurs au sourire, du desespoir a la joie. Elle avait du revivre presque entièrement sa vie passé.
Le nouvel élève encore timide demanda en baissant légèrement la tête si il pouvait essayer.
"Tu es dans mon cours, je t'ai également expliqué les consigne, il serait donc normal que tu fasse également cet exercice. Quand tu auras fini on passeras à autre chose, essayé de refaire cet exercice avant chaque entraînement et avant chaques combats, cela peut être très utile..."
Bakuryu regarda encore la fille au dragon et tenta de détourner ses yeux pour observer Kanki, qui allait débuter l'exercice seul, devant toute la classe..

Kanki essaya a son tour.
"j'espère que je n'irai pas trop loin"
Kanki ferma les yeux et commença a se souvenir de ce jour fatidique ou il perdit son père. Il se souvint du moment de son entrainement, c'était son plus beau jour car il réussi une technique très difficile a maîtriser car il fallait en combiner deux a la fois. Quand il voulut la refaire une deuxième fois il vit un éclair tombé sur son village et plus particulièrement sur sa maison, et ce fameux éclair ne partit pas, il resta sur place pendant environs cinq minutes. Quand l'éclair cessa un grondement terrifiant arriva suivi d'un cri strident, c'était celui de sa mère. Au moment où il voulut courir vers son village il vit des hommes s'enfuir.
"Mais sa voudrait dire que..."
Kanki comprit et commença a s'énerver.
Arrivé dans son village il vit certaine maison sans toit a cause de l'explosion qu'avait provoqué l’éclair, il continua a avancé et vit sa maison détruite avec comme seul survivant son père tenant de l'électricité dans ces mains et appuyer contre la poutre qui tenait normalement le plafond.
"Mais comment a-t-il pu ? Comment ?"
Kanki serra les poings et de l'électricité apparut un pendant un cour instant.
"Tu ma envoyé sa sur moi, pourquoi, dis moi POURQUOIIIIIIII !!!!!"
Kanki lâcha de l'électricité dans tout son corps cette fois si et ces yeux devinrent d'un jaune éclatant.
"Et si?"Il ouvrit les deux d'un coup et tout l'électricité qu'il avait pu produire disparu comme une bourrasque de vent.
"Je me souviens maintenant, je me souviens"
Kanki venait de se souvenir de la phrase de son père qui disait qu'il était désolé et que c'était le dernier espoir. Il se calme et redevint aussi timide qu’à son arrivé.
"J’ai compris maintenant, je ferai ce que tu ma demandé"
Kanki releva la tête
"J'ai terminé sensei, merci beaucoup, j'ai enfin compris ce qui me gênait depuis tout ce temps"
il regarda autour de lui et vit que tout le monde avait les cheveux hérissé
"Euh dites , pourquoi avez-vous tous les cheveux hérissé, que c'est il passé?"

Bakuryu regarda sa classe avec un petit air de fierté. Tous avaient réussi le petit exercice, il rappela quand même :
"Encore une fois cet exercice n’est qu’une base, il faudrait que vous soyez capable de le réussir dans n’importe quel situation, avant un combat ou un entraînement. Comme vous venez de le faire et que vous êtes encore dans le bain, on passe tout de suite à l’entraînement proprement dit."
Bakuryu observa un début d’excitation chez ses élèves.
"Je vais vous apprendre les bases du maniement de chakra. Le chakra est l’énergie présente dans le corps, en réussissant à déplacer le chakra, on peut effectuer des techniques, ou accroître nos capacités."
Tout en parlant Bakuryu concentrait son chakra dans sa main, puis à l’aide d’une incantation chuchotée sa main commença à luire, puis la lueur s’échappa de sa main. Une petite boule lumineuse flottait dans les airs.
"Avec de l’entraînement on peut extraire notre chakra, c’est comme ça qu’on fait des techniques."
Le Sanin se concentra encore un peu puis la boule lumineuse devant tour à tour en feu, puis en eau, et enfin en glace. Après ce petit tour elle redevint boule lumineuse et Bakuryu la fit rentrer dans sa main.
"Le petit exercice que vous avez fait précédemment a augmenter le flux de chakra dans votre corps, vous devez donc le sentir plus qu’à l’habituel. Ce que je vais vous demander c’est d’essayer de déplacer votre chakra dans la partie d corps que vous désirez."
A ce moment les pupille en fentes de Bakuryu devinrent encore plus mince, est ses yeux semblaient brillait. Cette capacité lui permettait de suivre légèrement le trajet du chakra.
"Maintenant a vous de jouer, je ne donne aucune astuce pour l’instant, essayer de trouver vous-même, sentez votre énergie, changez sa trajectoire, je vous laisse découvrir comment faire !"
Après ces paroles Bakuryu invoqua un serpent puis le manipula, tout en observant ses élèves. Il remarqua l’expression sérieuse de Ryudan, ses yeux perçant, ainsi que son dragon se reposant.

Kyosuke attendait calmement une réaction de la part de ses camarades. Mais en vain. Aucun d’entre eux ne parvint à débuter l’exercice. Alors, elle s’y colla la première.
" Yep ! Si on attend longtemps comme ça, on va jamais en finir… "
Elle arrêta de se balancer, se leva de sa chaise, se dirigea près d’une fenêtre, l’ouvra, jeta un coup d’œil afin d’admirer Mère Nature, puis se concentra.
Cet exercice ne devait pas lui poser grand problème. Elle s’était déjà trouvée dans une situation bien pire, entourée de reptiles qui la mordaient de temps à autres et étouffant d’une chaleur torride.
Ceci s’était passé il n’y a pas si longtemps que ça lors de son entraînement avec Bakuryu. Lors de cet exercice, elle avait réussi à malaxer son chakra, le faire se transposer tout le long de sa peau, dans le but de se créer une sorte de barrière protectrice.
Kyosuke s’était rendue compte d’une chose : ces 2 exercices avaient 1 point commun. Il fallait dans les 2 cas réussir à extraire le chakra de son corps afin de l’extérioriser et de l’utiliser dans le but voulu.
Elle utilisera donc la même méthode que cette dernière fois.
Tout d’abord, il fallait arriver à une concentration maximale. Pour se faire, elle décida de jouer la carte de la relaxation. Ainsi, son corps et son esprit étaient en totale harmonie dans une paix interne.
Maintenant concentrée, elle devait sentir le trajet du chakra le long de son corps et parvenir à déterminer le moment exact durant lequel il arriverait vers la paume de sa main. Cependant, avant cela, elle décida de débuter plus sagement en transformant ce chakra en une flamme, que lorsqu’il arriverait au niveau de son index.
Ainsi, elle exécuta la première étape de son raisonnement et réussit ce qu’elle souhaitait faire.
Elle remarqua que le bout de son doigt lui brûlait. Ce qui lui permit de fixer une quantité plus précise de chakra à utiliser lors de sa deuxième et dernière étape.
Kyosuke se reconcentra une seconde fois. Elle avait réussit à sentir approximativement le moment durant lequel le chakra arrivait à la paume de sa main. Elle attendit une seconde fois pour être plus sure. Ainsi, la troisième fois, lorsqu’elle sentait bien distinctement le chakra le long de ses doigts et dans sa paume, elle s’exécuta.
Une belle et grosse flamme s’est alors créée et Kyosuke, au bout de 10 secondes arrêta ceci.
Elle ne sentait pas de brûlure : c’était bon signe.
" Ouf, c’était su-perbe. J’avoue que c’est aussi épuisant, déjà que je n’avait pas beaucoup la forme. "
Elle était fière d’elle et grâce à sa dextérité, elle avait réussit à atteindre son but.
" Bon les jeunes, soyez courageux. Allez – y ! "
Elle referma la fenêtre, alla se rassoire sur sa chaise, tout en reprenant ce qu’elle était en train de faire : se ballancer.